Le Conseil fédéral soutient la limitation du droit de recours des associations
Die Stellungnahme des Bundesrats zu den Vorschlägen der Kommission für Umwelt, Raumplanung und Energie des Nationalrats (UREK-N) markiert einen Schritt in Richtung Einschränkung des Verbandsbeschwerderechts für Umweltorganisationen bei kleineren Wohnbauten innerhalb der Bauzone. Die Unterstützung dieser Vorlage verdeutlicht die Bestrebungen, den Prozess der Baugenehmigung zu vereinfachen und gleichzeitig den Schutz bedeutender Umwelt- und Kulturerbestätten zu gewährleisten.
La Commission de l’environnement, de l’aménagement du territoire et de l’énergie du Conseil national a élaboré un projet qui prévoit de limiter le droit de recours des organisations environnementales pour les petits bâtiments résidentiels situés dans la zone à bâtir. Cette initiative vise à simplifier le processus bureaucratique d’autorisation de construire, en particulier pour les projets de construction de petite taille.
Le Conseil fédéral a pris position sur ce projet le 27 mars 2024 et soutient les propositions de la CEATE-N. Il est favorable à la limitation du droit de recours des associations pour les constructions d’habitation jusqu’à 400 m2 de surface de plancher à l’intérieur des zones à bâtir. Cette mesure doit contribuer à rendre le processus de construction plus efficace pour les maîtres d’ouvrage privés tout en garantissant la protection d’importants sites environnementaux et patrimoniaux.
En outre, le Conseil fédéral approuve les exceptions proposées par la CEATE-N. En particulier, le droit de recours des associations doit être maintenu pour les projets de construction qui ont une influence sur les sites importants, les sites historiques et les monuments culturels, ainsi que pour les constructions dans des zones sensibles telles que les biotopes ou les espaces réservés aux eaux.
Le projet devrait être examiné par le Conseil national lors de la session spéciale d’avril. Ce développement illustre les efforts continus pour assurer une approche équilibrée entre le développement économique et la protection de l’environnement dans le secteur de la construction.